Retrouver l’influence de la France sur la scène internationale

Depuis des siècles, la France a été une puissance majeure sur la scène internationale, jouant un rôle central dans la diplomatie, la culture et les affaires mondiales. Cependant, au fil du temps, son influence a pu sembler diminuer, notamment face à l’émergence de nouvelles puissances et aux changements géopolitiques. Aujourd’hui, retrouver cette influence sur la scène mondiale est crucial pour la France afin de défendre ses intérêts nationaux, promouvoir ses valeurs et contribuer à la résolution des défis mondiaux. Pour ce faire, la France doit adopter une stratégie globale et adaptée aux réalités du 21e siècle, qui repose sur plusieurs piliers essentiels.

Tout d’abord, la France doit renforcer ses alliances et ses partenariats stratégiques avec d’autres acteurs internationaux. Cela implique de consolider sa relation avec l’Union européenne, en travaillant en étroite collaboration avec ses partenaires pour promouvoir une vision commune de l’Europe et pour renforcer son rôle sur la scène mondiale. De plus, la France doit maintenir et développer ses alliances avec d’autres puissances mondiales, telles que les États-Unis, tout en explorant de nouveaux partenariats avec des acteurs émergents tels que l’Inde, le Brésil et les pays d’Asie du Sud-Est.

Ensuite, la France doit promouvoir une diplomatie active et engagée, fondée sur le dialogue, la médiation et la coopération internationale. En tant que membre permanent du Conseil de sécurité des Nations unies, la France dispose d’une plateforme unique pour influencer les décisions politiques mondiales et contribuer à la résolution des conflits. Elle doit utiliser cette position de manière proactive pour promouvoir la paix, la sécurité et les droits de l’homme à travers le monde, en s’engageant dans des initiatives diplomatiques multilatérales et en soutenant les efforts de médiation dans les zones de conflit.

Parallèlement, la France doit continuer à jouer un rôle actif dans la promotion du multilatéralisme et du système international fondé sur des règles. Dans un monde marqué par l’instabilité et l’incertitude, le respect des normes internationales et des institutions multilatérales est essentiel pour préserver la paix et la stabilité mondiale. La France doit donc œuvrer pour renforcer ces institutions, telles que l’Organisation des Nations unies, l’Organisation mondiale du commerce et l’Union européenne, et promouvoir une coopération internationale efficace pour faire face aux défis mondiaux tels que le changement climatique, la sécurité alimentaire et la santé publique.

En outre, la France doit exploiter pleinement son potentiel économique et culturel pour renforcer son influence sur la scène internationale. En tant que l’une des plus grandes économies du monde, la France dispose d’une base solide pour promouvoir le commerce, l’investissement et l’innovation à l’échelle mondiale. Elle doit donc continuer à promouvoir une politique économique ambitieuse et à investir dans des secteurs stratégiques tels que la technologie, l’énergie propre et les industries créatives. De plus, la France doit mettre en valeur son patrimoine culturel et linguistique unique pour promouvoir son image à l’étranger et renforcer sa soft power sur la scène internationale.

Enfin, la France doit adopter une approche proactive et visionnaire pour faire face aux défis mondiaux émergents, tels que les changements climatiques, les migrations et les pandémies. En développant des politiques novatrices et en s’engageant dans des initiatives internationales ambitieuses, la France peut se positionner comme un leader mondial dans la lutte contre ces défis et contribuer à façonner un avenir plus sûr, plus durable et plus équitable pour tous.

En conclusion, retrouver son influence sur la scène internationale est un impératif pour la France afin de défendre ses intérêts nationaux, promouvoir ses valeurs et contribuer à la résolution des défis mondiaux. Pour ce faire, la France doit adopter une stratégie globale et adaptée aux réalités du 21e siècle, fondée sur le renforcement des alliances, la promotion de la diplomatie active, le soutien au multilatéralisme, l’exploitation de son potentiel économique et culturel, et l’adoption d’une approche proactive face aux défis mondiaux émergents. En agissant de manière cohérente et visionnaire, la France peut retrouver sa place de leader sur la scène mondiale et contribuer à façonner un avenir plus sûr, plus prospère et plus juste pour tous.

déguster des délices venus d’ailleurs

L’exploration culinaire ne consiste pas seulement à préparer des repas, mais aussi à partir à la découverte de goûts, d’ingrédients et de méthodes du monde entier. Apprendre à cuisiner des aliments de civilisations différentes ouvre la porte à de nouvelles expériences, élargit les horizons et favorise l’appréciation de l’abondante tapisserie des aliments du monde. Dans cet essai, nous examinerons les plaisirs et les avantages de l’exploration de la diversité culinaire, ainsi que la force de transformation qu’elle conserve pour les futurs cuisiniers amateurs.

Apprendre à préparer des plats de différentes cultures permet aux individus de découvrir un royaume de saveurs au-delà de leurs propres traditions culinaires. Des épices et herbes aromatiques de la cuisine indienne aux saveurs audacieuses de la cuisine de rue mexicaine, chaque culture offre une palette d’ingrédients et d’assaisonnements distincts et fabuleux. En expérimentant de nouvelles saveurs et de nouveaux ingrédients, les cuisiniers amateurs peuvent élargir leur répertoire culinaire et créer des repas à la fois excitants et délicieux.

La cuisine est étroitement liée à la culture, à l’histoire et à l’identité. Apprendre à préparer différents repas issus de diverses cultures permet de découvrir les coutumes, les pratiques et les idéaux de différentes communautés à travers le monde. Qu’il s’agisse de maîtriser la fabrication des sushis au Japon ou de préparer des plats de pâtes traditionnels en Italie, chaque tradition culinaire raconte une histoire et ouvre une fenêtre sur la riche tapisserie des rencontres humaines. En adoptant ces traditions culturelles, les cuisiniers à domicile peuvent se rapprocher de leur héritage et mieux apprécier la diversité du monde qui les entoure.

L’exploration de différentes cuisines favorise la créativité et l’innovation dans votre cuisine. En mélangeant des saveurs, des méthodes et des substances issues de différentes cultures, les cuisiniers peuvent préparer des plats uniques et inventifs qui reflètent leur propre style et leurs préférences. Qu’il s’agisse d’une cuisine combinant des éléments de différentes traditions culinaires ou de réinterprétations créatives de plats classiques, les possibilités sont infinies. Comprendre comment cuisiner divers aliments issus de différentes cultures permet aux cuisiniers de la maison d’expérimenter, de prendre des risques et de repousser les limites de la cuisine traditionnelle.

Apprendre à cuisiner différents aliments issus de différentes cultures permet également d’améliorer les compétences et les techniques culinaires. Chaque cuisine offre son propre ensemble de méthodes de préparation des aliments, de techniques de planification et de types de présentation qui permettent aux cuisiniers à domicile d’élargir leur répertoire culinaire et d’affiner leurs compétences. Qu’il s’agisse de maîtriser la technique du sauté dans la cuisine chinoise ou l’art délicat de la pâtisserie dans la cuisine française, chaque nouvelle compétence acquise ajoute de la profondeur et de la polyvalence à la boîte à outils culinaire du cuisinier amateur.

L’exploration de diverses cuisines peut également avoir des effets bénéfiques sur la santé et le bien-être. De nombreuses cuisines conventionnelles mettent l’accent sur les ingrédients frais et de saison, les céréales complètes et les protéines à faible teneur en matières grasses, qui sont associés à de nombreux bienfaits pour la santé. En incorporant des éléments de différentes cuisines dans leur régime alimentaire, les cuisiniers en résidence peuvent bénéficier d’une alimentation variée et équilibrée qui favorise la santé et la vitalité générales. En outre, apprendre à préparer des repas issus de cultures différentes favorise la prise de conscience et l’appréciation des plaisirs sensoriels des aliments, ce qui permet de vivre une expérience culinaire beaucoup plus agréable et enrichissante.

Enfin, apprendre à cuisiner des aliments issus de cultures différentes peut contribuer à combler les fossés sociaux et à favoriser une meilleure compréhension et une plus grande appréciation de la diversité. Les repas ont une capacité remarquable à rapprocher les gens, au-delà du vocabulaire, de la nationalité et de l’origine. En partageant des plats préparés avec amour et soin, les cuisiniers peuvent créer des occasions de dialogue, d’échange et de respect mutuel. La cuisine devient une sorte de diplomatie culturelle, favorisant les contacts et jetant des ponts entre des personnes issues de milieux différents.

Apprendre à cuisiner différents aliments issus de diverses cultures est un véritable voyage transformateur qui ouvre les cœurs, les pensées et les palais à la riche diversité des traditions culinaires du monde. En embrassant les saveurs du monde, en vérifiant l’histoire culturelle, en encourageant la créativité et l’innovation, en améliorant les compétences culinaires, en promouvant la santé et le bien-être et en développant des passerelles culturelles, les cuisiniers amateurs peuvent se lancer dans une expérience culinaire vraiment enrichissante et satisfaisante. Alors, allumons le fourneau, cours de cuisine améliorons nos couverts et partons ensemble à la découverte de ce succulent voyage.

Partir à Nantucket

Nantucket, une île et une ville située à environ 30 miles au sud de Cape Cod, dans le Massachusetts, est une destination emblématique connue pour son charme pittoresque, son histoire maritime et ses plages sublimes. Jadis un centre important de l’industrie baleinière, Nantucket est aujourd’hui un havre prisé pour ceux qui cherchent une évasion côtière, mêlant histoire, nature et un style de vie décontracté.

L’histoire de Nantucket est riche et fascinante. Au 18e et au début du 19e siècle, l’île était le cœur de l’industrie baleinière mondiale. Les baleiniers de Nantucket naviguaient dans des eaux lointaines, et la prospérité tirée de cette industrie a laissé une empreinte durable sur l’architecture et la culture de l’île. Le Musée Baleinier de Nantucket, l’un des principaux musées de l’île, raconte l’histoire de cette époque à travers des expositions captivantes, incluant un squelette de baleine grandeur nature et un vaste ensemble d’artefacts maritimes.

L’architecture de Nantucket est un témoignage de son riche passé. Les bâtiments historiques, souvent construits par des capitaines de baleiniers, sont caractérisés par des façades en bois grisé, des toits en croupe et des lanternes Quaker. Le centre-ville, avec ses rues pavées et ses boutiques, galeries et restaurants, est un endroit charmant pour se promener et absorber l’atmosphère unique de l’île.

En dehors de son centre-ville, Nantucket est célèbre pour ses plages pittoresques. Des plages familiales comme Children’s Beach aux étendues plus isolées comme Cisco Beach, l’île offre une variété de paysages côtiers. La pratique du surf, de la voile et d’autres sports nautiques est populaire, tandis que les plages offrent des couchers de soleil spectaculaires, parfaits pour une soirée détendue.

La nature à Nantucket est un autre attrait majeur. Les espaces protégés, comme la Réserve Naturelle de Coskata-Coatue, offrent un havre pour la faune et la flore, ainsi que des paysages de dunes, de marais salants et de forêts. L’observation des oiseaux y est particulièrement remarquable, avec une grande variété d’espèces migratrices et résidentes.

La vie culturelle de Nantucket est dynamique, avec des événements qui reflètent l’esprit de la communauté insulaire. Le Festival Daffodil en avril, avec ses parades de voitures anciennes décorées de jonquilles, et le Festival des Crocus en décembre sont des moments forts du calendrier local. Les galeries d’art, souvent inspirées par la lumière et le paysage de l’île, sont un autre aspect de la scène culturelle.

La cuisine de Nantucket est centrée sur les fruits de mer frais, avec des mets tels que les huîtres locales, le homard et le poisson. Les restaurants varient des cabanes à fruits de mer décontractées aux établissements gastronomiques, offrant une gamme d’expériences culinaires.

Enfin, Nantucket est également connue pour ses boutiques uniques et ses magasins d’antiquités, où les visiteurs peuvent trouver des articles artisanaux locaux, des vêtements de style insulaire et des souvenirs uniques.

En conclusion, Nantucket est une île qui offre une combinaison rare de beauté naturelle, d’histoire riche et d’une atmosphère détendue. Que ce soit pour se promener le long des rues pavées de son centre-ville, se détendre sur ses plages pittoresques, explorer ses réserves naturelles, ou simplement profiter de son ambiance unique, Nantucket est une destination qui charme et revitalise ses visiteurs.

La guerre vue d’en haut: l’influence des jets

Le domaine de l’aviation a connu d’importantes évolutions au cours du siècle dernier, les avions de chasse devenant des icônes emblématiques de l’amélioration des combats aériens. Ces machines élégantes et supersoniques représentent le summum de l’ingénierie, de l’agilité et de la puissance de feu. Leur évolution, depuis les rudimentaires biplans de la Première Guerre mondiale jusqu’aux jets furtifs actuels, souligne leur profond impact sur la guerre moderne.

La genèse des avions de chasse remonte à la Première Guerre mondiale. Au début, les avions étaient principalement des outils de reconnaissance. Néanmoins, avec la reconnaissance de leurs possibilités, ils furent bientôt équipés de canons d’équipement, ce qui conduisit à l’arrivée du combat aérien. Lors de la Seconde Guerre mondiale, les avions de chasse à hélice comme le Spitfire et le Mustang dominaient le ciel. Cependant, il était clair que le combat aérien nécessitait des avions plus rapides et plus maniables.

L’avènement de la propulsion à réaction dans les années 1940 a marqué le début d’une nouvelle ère. Le monde entier a assisté aux débuts du premier avion de combat à réaction fonctionnel, le Messerschmitt Me 262 allemand. Bien qu’il soit arrivé trop tard pour modifier de manière significative le cours de la bataille, il a donné un aperçu de l’avenir des combats aériens.

Après la Seconde Guerre mondiale, le passage des hélices aux moteurs à réaction s’est fait rapidement. La guerre de Corée a été le premier affrontement où les chasseurs à réaction ont joué un rôle essentiel, avec des avions comme le F-86 Sabre américain et le MiG-15 soviétique qui ont démontré les capacités des combats à réaction.

La guerre du Viêt Nam a également illustré la sophistication croissante des avions de combat . La création de missiles à portée de vue supérieure (BVR) et de systèmes radar a transformé les combats aériens. Les aviateurs ne se contentent plus de combats rapprochés ; ils peuvent désormais affronter leurs adversaires à des kilomètres de distance.

La seconde moitié du XXe siècle a été marquée par d’importantes percées technologiques. Le développement de la technologie furtive, incarnée par le F-117 Nighthawk, a radicalement transformé la dynamique des combats aériens. Ces avions pouvaient opérer sans être découverts, frappant des concentrations sans alerter les défenses ennemies.

D’autres améliorations apportées à l’avionique, aux techniques d’armement et aux fournitures ont fait des avions de chasse modernes des plateformes multirôles. Par exemple, le F-22 Raptor, souvent considéré comme le chasseur le plus innovant au monde, peut facilement effectuer des missions air-air, air-sol et de renseignement.

Les avions de combat ont redéfini la manière dont les batailles sont menées. Leur capacité à effectuer des frappes de précision avec un minimum de doges collatéraux en fait des atouts essentiels. Grâce à la brillance aérienne, les forces terrestres peuvent travailler en réduisant les risques liés aux avions ennemis ou à la surveillance aérienne.

En outre, la simple possession d’avions de chasse avancés a un effet dissuasif important. Ils incarnent la puissance militaire et les prouesses technologiques d’une nation. En temps de paix, ils jouent un rôle essentiel dans le maintien des zones d’exclusion aérienne, Northrop F-20 Tigershark dans les opérations de reconnaissance ou dans les exercices militaires.

Cependant, l’évolution des avions de chasse n’est pas sans poser de problèmes. Ces avions deviennent de plus en plus avancés sur le plan technique, mais aussi de plus en plus chers. Le coût du développement, de l’acquisition et de l’entretien d’une flotte moderne peut grever le budget de la défense d’un pays. En outre, avec la montée en puissance des systèmes de défense antiaérienne sophistiqués, même les chasseurs les plus innovants ne sont généralement pas invulnérables.

Il y a aussi le débat sur l’importance des chasseurs habités à l’ère des drones et des avions de combat autonomes potentiels. Les véhicules aériens sans pilote (UAV) peuvent opérer dans des environnements trop risqués pour les avions pilotés et sont donc considérablement moins coûteux.

Si la génération actuelle d’avions de combat représente l’apogée du combat aérien habité, l’avenir semble prêt à changer. Des concepts tels que le plan « Skyborg » de l’armée de l’air américaine laissent entrevoir un avenir où des drones autonomes ou semi-autonomes opéreront aux côtés des avions de combat pilotés.

Toutefois, l’essence de l’avion de chasse ne tient pas seulement à l’équipement, mais aussi à l’homme qui se trouve derrière les condes. Les instincts, l’expérience et les choix d’un pilote individuel sont difficiles à reproduire, même avec un intellect artificiel avancé.

En conclusion, les avions de chasse, au cours de leur siècle d’existence, sont passés du statut de simples biplans équipés de canons à celui de merveilles technologiques capables de dominer les champs de bataille contemporains. Leur impact sur les combats est indéniable, car ils sont à la fois des outils de précision et des symboles de puissance. Alors que l’avenir des combats aériens pourrait voir une combinaison de l’homme et de la machine, l’héritage et l’importance des avions de chasse dans l’évolution des conflits sont indélébiles. Leur évolution témoigne de l’ingéniosité de l’homme et de l’évolution constante du combat.

Gérer les Finances d’une Petite Entreprise : Pratiques Éclairées et Contrôle Financier

La gestion financière efficace est essentielle pour la stabilité et la croissance d’une petite entreprise. La prise de décisions éclairées, la surveillance constante des finances et la planification financière sont des éléments clés pour assurer la viabilité à long terme de l’entreprise. Cet essai explore les diverses approches et les principes clés pour gérer les finances d’une petite entreprise, en mettant en évidence l’importance de la budgétisation, de la gestion de trésorerie, de la comptabilité précise et de la recherche de financement.

La budgétisation est une première étape cruciale dans la gestion des finances d’une petite entreprise. Élaborer un budget précis qui inclut les revenus, les dépenses et les investissements prévus permet de planifier les ressources financières nécessaires pour soutenir les opérations. La budgétisation aide également à identifier les domaines où des économies peuvent être réalisées et à éviter les dépenses inutiles.

La gestion de trésorerie est un élément vital pour la santé financière d’une petite entreprise. Surveiller de près les flux de trésorerie entrants et sortants permet d’anticiper les besoins de liquidités et d’éviter les crises de trésorerie. Les prévisions de trésorerie aident à prendre des décisions éclairées sur les dépenses, les investissements et les opportunités de croissance, tout en garantissant que l’entreprise dispose des fonds nécessaires pour ses opérations quotidiennes.

La comptabilité précise est fondamentale pour suivre les performances financières de l’entreprise. Tenir des registres comptables précis, enregistrer toutes les transactions et générer des états financiers réguliers permet de surveiller les revenus, les dépenses, les profits et les pertes. Une comptabilité précise fournit également les informations nécessaires pour évaluer la rentabilité et l’efficacité des opérations.

La recherche de financement est souvent nécessaire pour soutenir la croissance et le développement d’une petite entreprise. Identifier les sources de financement appropriées, telles que les prêts bancaires, les subventions gouvernementales, le financement participatif ou les investisseurs privés, peut aider à sécuriser les ressources financières nécessaires. Il est important d’évaluer soigneusement les options de financement pour choisir celles qui conviennent le mieux aux besoins de l’entreprise.

La planification financière à long terme est un élément clé pour assurer la viabilité à long terme d’une petite entreprise. Élaborer des stratégies financières qui prennent en compte la croissance future, l’expansion et les éventuelles fluctuations économiques permet d’anticiper les défis et de capitaliser sur les opportunités. La planification financière favorise également la prise de décisions éclairées pour garantir la santé financière continue de l’entreprise.

En conclusion, gérer les finances d’une petite entreprise repose sur des pratiques éclairées et un contrôle financier rigoureux. La budgétisation, la gestion de trésorerie, la comptabilité précise, la recherche de financement et la planification financière à long terme sont autant d’éléments clés pour assurer la stabilité, la croissance et la viabilité à long terme de l’entreprise. Les entrepreneurs qui intègrent ces principes dans leur approche de gestion financière sont mieux préparés à prendre des décisions éclairées et à maintenir la santé financière de leur petite entreprise.

L’importance des voyages pour comprendre le monde

Dans un monde de plus en plus interconnecté et globalisé, l’action de voyager a pris une importance considérable au-delà de la simple découverte de nouvelles destinations. Les voyages permettent aux individus de mieux comprendre le monde et de faire face aux défis complexes du 21e siècle. Il va au-delà des activités de détente et sert d’expérience transformatrice, cultivant l’expansion personnelle, l’admiration culturelle et une perspective plus large. Cet essai vise à mettre en lumière l’importance de conduire en comprenant le monde entier et en relevant les défis auxquels nous sommes confrontés à notre époque.

L’une des facettes les plus vitales du voyage est sans aucun doute l’exposition à des cultures, des pratiques et des points de vue différents. En s’immergeant dans un environnement inconnu, les voyageurs acquièrent une connaissance directe des coutumes, des valeurs et des croyances de plusieurs sociétés. Cette expérience favorise l’empathie, le respect et la gratitude à l’égard de la diversité culturelle, ce qui, en fin de compte, favorise un monde encore plus inclusif et tolérant. Ces rencontres interculturelles contribuent à briser les stéréotypes, à dissiper les préjugés et à favoriser la compréhension mutuelle, jetant ainsi les bases d’un équilibre et d’une cohésion à l’échelle mondiale.

Les voyages offrent un point de vue plus large qui ne peut être obtenu par le biais de livres, de documentaires ou de sites web. Il permet aux hommes et aux femmes d’être les premiers témoins de la beauté du monde, mais aussi de ses problèmes. Les paysages grandioses, les villes animées et les sites historiques rencontrés pendant les vacances exposent les individus à de nouvelles réalités et leur permettent de percevoir la planète sous différents angles. En élargissant leur perspective, les vacanciers deviennent plus adaptables, plus ouverts d’esprit et mieux équipés pour naviguer dans les complexités de notre siècle.

Alors que le monde entier est confronté à la nécessité urgente de s’attaquer aux problèmes environnementaux, les voyages jouent un rôle crucial dans la compréhension et l’adoption de méthodes durables. Le fait d’être témoin direct de la fragilité des écosystèmes, des espèces menacées et de l’impact des activités humaines sur l’environnement motive les voyageurs à devenir des habitants de la planète responsables. Cette sensibilisation accrue peut inciter les hommes et les femmes à faire des choix réfléchis dans leur vie quotidienne et à plaider en faveur de plans et de procédures respectueux de l’environnement, contribuant ainsi à la préservation de la planète pour les générations futures.

Les difficultés rencontrées au XXIe siècle sont par nature globales, allant du réchauffement climatique et de la pauvreté à l’agitation politique et aux développements technologiques. Les voyages offrent une possibilité unique d’observer et d’analyser ces défis dans différentes régions, ce qui permet aux voyageurs d’identifier les points communs, les solutions révolutionnaires et les techniques de collaboration. En s’intéressant aux communautés locales, aux ONG et aux professionnels au cours de leurs voyages, les individus peuvent participer activement aux tentatives de résolution des problèmes et travailler à la création d’un avenir beaucoup plus durable et équitable.

Les voyages font souvent sortir les gens de leur zone de confort et d’aisance, les obligeant à s’adapter à des situations, des langues et des normes culturelles qui ne leur sont pas familières. Ce processus de sortie de sa zone de confort favorise le développement personnel, voyage à Hong Kong la confiance en soi et la résilience. Les vacances permettent aux gens de découvrir leurs propres forces, de faire face à leurs préjugés et de créer une sensation plus profonde de conscience de soi. Ces expériences transformatrices offrent une plateforme unique d’introspection, permettant aux voyageurs de réfléchir à leurs valeurs, leurs priorités et leurs aspirations, ce qui conduit finalement à un développement personnel et à une perspective renouvelée du mode de vie.

Au XXIe siècle, le voyage revêt une importance considérable en tant que catalyseur de l’apprentissage du monde et de la confrontation avec ses défis. Grâce à la compréhension culturelle, à une perspective élargie, à la conscience écologique, à la résolution de problèmes à l’échelle mondiale et à l’épanouissement personnel, les vacanciers deviennent des agents de changement bénéfique. En embrassant la force transformatrice des vacances, les individus peuvent contribuer à un monde beaucoup plus inclusif, respectueux de l’environnement et interdépendant, en transcendant les frontières et en construisant des ponts de compréhension entre des cultures et des communautés diversifiées.

Pourquoi le problème est l’économie, pas les économistes

Dans son excellent livre «Economics Rules», Dani Rodrik a décrit ce qu’il considérait comme les droits et les torts de la science lugubre ». L’un de ses principaux refrains était que le problème était les économistes, pas l’économie »: c’est-à-dire que certains économistes ont confondu leurs modèles avec le monde réel et les ont appliqués de manière inappropriée, abusant d’un ensemble d’outils potentiellement utiles. Trop souvent, la conséquence a été une idéologie déguisée en science, entraînant des échecs économiques tels que le monétarisme ciblant les quantités dans les années 80; la privatisation russe des années 90; et récemment la crise financière de 2008. Selon Rodrik, une bonne économie consiste à s’assurer que vous avez choisi le bon modèle pour le bon travail, en basant votre décision sur une théorie et des preuves solides. Tout économiste digne de ce nom doit être pragmatique et non dogmatique.
Rodrik n’a pas tort qu’il y ait des économistes qui sont enclins à abuser de leurs modèles, dans certains cas à un degré alarmant. Il ne se trompe pas non plus sur ce qu’une bonne économie devrait impliquer: la flexibilité intellectuelle et la compréhension d’un large éventail d’outils pour comprendre l’économie. Malgré cela, je ne suis pas d’accord avec l’idée générale que le cadre de l’économie n’est pas le problème avec la discipline, et que si ce cadre était seulement enseigné et mieux pratiqué, de nombreux problèmes de la discipline seraient surmontés. En fait, je crois que l’économie moderne se caractérise par le problème exactement opposé: le fait de s’appuyer sur un cadre unique entrave la recherche d’économistes capables, consciencieux et (dans une certaine mesure) critiques. En d’autres termes, le problème, c’est l’économie, pas les économistes.
Il faut certes résister à la mauvaise économie de Rodrik, mais c’est en grande partie un vestige du passé et ne représente pas la direction actuelle de la discipline. C’est ce qui pousse les chercheurs qui représentent mieux l’économie contemporaine à s’exaspérer en réponse à la myriade d’articles critiquant la discipline comme si elle se composait uniquement d’idéologues du libre marché qui s’accrochent à des modèles de marchés parfaits. Deux de mes collègues de Manchester, Rachel Griffiths et Diane Coyle, ont récemment participé à ce débat, et le hashtag #whateconomistsreallydo illustre la frustration et la perplexité que beaucoup de ces chercheurs partagent face aux critiques de la discipline.
Dans un récent article pour Prospect Magazine, Coyle réplique une critique de Howard Reed en évoquant plusieurs exemples contemporains où elle pense que les économistes font un travail empirique pertinent qui n’a rien à voir avec l’incubation de crises financières. Parmi ceux-ci figurent des articles sur les avantages des chemins de fer en Inde au XIXe siècle; l’effet des changements technologiques modernes sur les emplois; et l’effet des taxes sur le sucre sur les taux d’obésité au Royaume-Uni. Ces exemples devraient suffire à convaincre les gens que beaucoup de recherches économiques modernes vont dans la bonne direction.
Mais à mon avis, la question n’est pas tant ce que les économistes font que la façon dont ils le font. La pensée critique existe au sein de la discipline, mais cette critique reste uniquement dans les limites du courant dominant. Depuis longtemps, «économie» est synonyme d’une méthodologie spécifique, dont l’utilisation est considérée comme intéressante en soi, qu’elle découvre ou non quelque chose de nouveau.
Pertinent, intéressant – et inutile
Lors de la conférence de la Royal Economic Society (RES) cette année, Botond Koszegi a donné l’une des principales conférences, «A Pro-Market Case for Regulation». Koszegi est un éminent chercheur en théorie des perspectives – qui se trouve être là où se trouvent mes intérêts de recherche – et avec son co-auteur Matthew Rabin est un candidat probable pour un futur prix Nobel. Le nœud de sa présentation était un modèle dans lequel les consommateurs, en raison de limitations cognitives, n’étaient pas en mesure d’examiner pleinement chaque produit qu’ils achetaient. Le résultat a été que des réglementations garantissant un certain niveau de sécurité, de qualité et autres pourraient améliorer la concurrence en donnant aux gens plus de temps pour magasiner au lieu d’avoir à consacrer autant de temps à enquêter sur des produits spécifiques. Ainsi, la réglementation améliorerait les marchés et la concurrence.
Je ne peux pas blâmer la présentation de Koszegi, qui était lucide et engageante. Je ne peux pas non plus blâmer ses compétences techniques, qui dépassent certainement les miennes (une barre basse, certes). Je ne peux pas critiquer le sujet de sa présentation, qui était pertinent et intéressant. Je ne peux pas non plus blâmer le certain type de créativité nécessaire pour intégrer ces idées dans un modèle économique. Mais alors, c’est tout: pour obtenir une audience parmi les économistes, ces idées devaient être intégrées dans un modèle économique. L’incorporation d’idées dans ces cadres est une condition nécessaire à leur acceptation, ce qui étouffe la production de connaissances.
Qu’on les veuille ou non, les points soulignés par Koszegi n’étaient pas particulièrement nouveaux. Koszegi lui-même a fait valoir que son cadre rationalisait la politique existante des régulateurs britannique, européen et américain, plutôt que de proposer une nouvelle direction audacieuse. Une recherche rapide a révélé un document du gouvernement britannique de 2011 sur la réglementation – produit bien avant les recherches de Koszegi – qui déclarait que si les consommateurs ne disposent pas d’informations suffisantes ou ont du mal à prendre des décisions éclairées, les entreprises subissent une pression concurrentielle moindre ». Les économistes institutionnels tels que Jamie Galbraith affirment depuis longtemps que les marchés fonctionnent mieux lorsque le produit est ce qu’il prétend être, et qu’il fonctionnera comme il est censé le faire. C’est ce qu’offre un solide système de réglementation ». De toute évidence, nous n’avions pas besoin d’un modèle théorique compliqué pour faire valoir ce point.
La dynamique consistant à utiliser des méthodes économiques standard pour dire quelque chose qui est en quelque sorte déjà connu est assez courante. Un article largement élogieux sur la conférence RES de l’année dernière publié dans The Independent a failli s’en rendre compte en disant qu’il y avait un article qui montre que les femmes mariées sont plus en ordre que les hommes mariés et font plus de travaux ménagers après leur mariage. Je pense que beaucoup de gens ne seront pas surpris par cela, mais c’est bien de l’avoir établi. » Je ne peux pas m’empêcher de penser que ce point a été établi «bien avant que les économistes ne se tournent vers lui et ne désespèrent du capital intellectuel gaspillé de l’établissement» lorsqu’il y a des questions beaucoup plus pressantes dans le monde.
Comme le dit le vieil adage, si vous avez un marteau, tout ressemble à un clou ». Les économistes ont deux principaux marteaux: les modèles de choix et leurs variantes forment la base de la plupart des modèles théoriques (j’inclus l’économie comportementale dans celui-ci, qui utilise toujours le cadre de maximisation de l’utilité). La régression linéaire est la technique empirique préférée des économistes (encore une fois, les variantes couramment utilisées telles que les méthodes de panel ou les variables instrumentales sont toujours fondamentalement linéaires). Les incitations à la recherche signifient généralement l’adhésion à au moins l’une de ces deux techniques, malgré la pléthore d’autres techniques disponibles. L’école d’économie «institutionnelle» susmentionnée pourrait préférer une lentille théorique qui examine les structures sociales et juridiques au choix individuel, et une méthode empirique qui met l’accent sur les détails qualitatifs par rapport aux techniques statistiques. Ce n’est là qu’une des nombreuses méthodes alternatives disponibles pour les économistes.
Les documents économiques grand public traitent souvent de questions qui semblent passionnantes, mais donnent des réponses finalement décevantes car elles suivent les mêmes vieilles méthodes. Je ne peux pas compter le nombre de fois où j’ai été attiré dans une présentation économique par un titre prometteur pour être frustré par le contenu réel. L’année dernière, à Manchester, il y a eu une présentation avec le titre scintillant Networks in Conflict: Theory and Evidence from the Great War of Africa », à laquelle j’ai assisté avec enthousiasme. Beaucoup d’autres ont clairement ressenti la même chose car la salle était complètement remplie, y compris les étudiants de premier cycle (qui ne vont généralement pas à ces séminaires).
Mais au début de la présentation, il est devenu évident qu’ils allaient aborder la question en utilisant… dum dum dum… un modèle de choix rationnel, suivi d’une régression linéaire! Je pensais que la guerre au Congo était un candidat aussi bon que n’importe qui pour quelque chose qui n’était ni rationnel ni linéaire, mais ces hypothèses sous-jacentes n’ont même pas été discutées dans la présentation ou dans le document, qui a depuis été publié dans une revue de haut niveau. Cela pourrait être pardonné si le journal contenait des révélations sur la guerre au Congo, mais en fait, sa conclusion clé frisait la banalité: plus vos ennemis combattent, plus vous devez combattre; plus vos amis se battent, moins vous devez vous battre. En plus d’être déçu par cela, j’ai été surpris qu’un document sur les réseaux n’utilise pas l’analyse de réseau de Granovetter, sans doute l’un des outils les plus célèbres de la sociologie.
La question n’est pas de savoir si le choix rationnel et la régression linéaire peuvent être utiles; quiconque croit qu’il ne peut pas dire des bêtises, comme l’illustrent certains des exemples de Coyle. La question est de savoir si elles sont toujours utiles, ce qui serait également un non-sens, mais c’est quelque chose que vous pourriez être pardonné si les économistes pensent que les chercheurs croient en suivant des recherches économiques. Le modèle du choix rationnel a connu un certain nombre de succès, notamment en faisant correspondre les donneurs de rein les uns aux autres, mais il a au moins autant d’échecs, dont la plupart sont si bien portés à ce stade que cela ne vaut pas la peine de les revoir. La régression linéaire est probablement le bon modèle statistique la plupart du temps, mais cela ne peut toujours pas être supposé a priori. Coyle souligne à juste titre deux articles récents, l’un par Alwyn Young et l’autre par John Ioannidi, qui ont jeté de sérieux doutes sur la pratique économétrique largement utilisée et ils sont loin d’être les premiers à le faire.
Les économistes peuvent répondre que la modélisation et l’estimation empirique leur permettent d’isoler et de quantifier des mécanismes autrefois nébuleux pour clarifier les compromis exacts des politiques. Cependant, je soupçonne que dans de nombreux cas, il s’agit d’une sorte de précision fallacieuse, car les coefficients estimés et les paramètres de modélisation sont notoirement instables. Les prévisions hors échantillon ne sont pas habituellement faites en économie, et quand elles le sont, elles ont des antécédents mitigés, pour le moins. De plus, le choix du modèle affectera les conclusions, à la fois en déterminant quoi modéliser et en le modélisant d’une certaine manière. Comme Coyle et Reed en conviennent, cela rend les jugements de valeur implicites dans les modèles économiques, mais de nombreux économistes ne sont pas suffisamment conscients de ce point et ont tendance à considérer les modèles standard et la régression comme le cadre par défaut.
L’autre défense est d’ordre pratique: bien sûr, ces méthodes ont leurs défauts, mais elles sont le meilleur moyen de convaincre les décideurs, les politiciens et le public qu’une politique a une justification quasi scientifique. Bien que cela puisse être vrai compte tenu de notre situation actuelle, il y a une circularité. Une partie de la raison pour laquelle ce type de recherche est jugé nécessaire est due à l’influence des économistes sur le gouvernement et la société au cours des 80 dernières années. En adoptant une plus grande variété d’approches de la connaissance, les économistes pourraient utiliser leur influence considérable pour modifier les perceptions des personnes au pouvoir au lieu de renforcer la dépendance à l’égard d’un cadre unique.
C’est monolithique tout le long
L’acceptation sans réserve d’une méthodologie commence par l’enseignement économique de premier cycle. Repenser l’économie a effectué une révision du programme d’études de 174 modules dans 7 universités du Groupe Russell – considérées à tort ou à raison comme les «meilleures» universités du Royaume-Uni – et nous avons constaté que l’acceptation sans réserve d’un type d’économie commence par l’éducation. Moins de 10% des modules ont même mentionné autre chose que l’économie traditionnelle ou «néoclassique»; en économétrie, plus de 90% des modules ont consacré plus des deux tiers de leurs cours à la régression linéaire. Seulement 24% des questions d’examen nécessitaient une réflexion critique ou indépendante (c.-à-d. Étaient ouvertes); ce taux est tombé à 8% si l’on ne comptait que les macro et micro modules obligatoires qui forment le cœur de l’enseignement économique.
Nous l’avons déjà appelé «endoctrinement», et bien que cela puisse sembler dramatique, la définition du dictionnaire de l’endoctrinement est d’enseigner à une personne ou à un ensemble de personnes à accepter un ensemble de croyances sans critique », ce qui, selon nous, caractérise adéquatement les résultats de l’examen, comme ainsi que notre propre expérience et de nombreux manuels d’économie largement utilisés. Compte tenu de cette éducation, il n’est pas étonnant que les économistes restent attachés aux préceptes fondamentaux des modèles de choix et de la régression linéaire, peu importe où ils tournent leur attention. En plaçant la méthode en premier, l’hypothèse implicite devient que répondre à une question en utilisant ce cadre est à première vue intéressant, et une évaluation critique de ces outils par rapport aux autres est rendue impensable.
Ce débat peut sembler trop abstrait pour justifier un débat public aussi étendu, mais l’économie exerce plus d’influence sur le gouvernement, le secteur privé et les médias que toute autre science sociale – peut-être plus que toute autre discipline. Et le monopole intellectuel décrit ci-dessus se fait connaître par cette influence, qui limite nos choix politiques perçus. Les débats économiques, y compris celui entourant le récent vote du Brexit, sont souvent menés en termes de PIB agrégé, qui malgré certaines critiques reste la mesure standard de la réussite économique à la fois parmi les économistes et le public, même s’il ignore (entre autres) les disparités régionales au Royaume-Uni et ne parle donc pas de l’expérience vécue par de nombreuses personnes. C’est peut-être une des raisons pour lesquelles les prévisions omniprésentes d’une perte de PIB du Brexit n’ont pas convaincu le pays.
Un exemple plus concret de l’influence des idées économiques est le Livre vert, un document produit par le gouvernement britannique qui définit le cadre de l’évaluation et de l’évaluation de toutes les politiques, programmes et projets. Il est remarquable à quel point ce livre se lit comme un manuel d’économie de première année par endroits: comme un manuel standard, il se concentre largement sur l’efficacité économique tout en reconnaissant les considérations d’équité (distributionnelle). Il passe ensuite beaucoup de temps à discuter de la façon de placer les valeurs économiques sur les coûts et les avantages des politiques pour les peser. D’autres objectifs économiques tels que la sécurité, la stabilité ou la liberté économique ne reçoivent pas beaucoup d’attention (le cas échéant); d’autres critères de décision (en particulier les plus démocratiques) sont également absents.
Repenser l’économie pense que le programme doit embrasser une plus grande diversité de points de vue, ainsi que se concentrer davantage sur le monde réel et moins sur la dérivation de modèles abstraits. Mais même dans ce débat, la pauvreté de l’imagination refait surface: lorsque nous demandons que le programme nous enseigne des questions telles que la crise financière, les inégalités et l’immigration, nous sommes fréquemment confrontés à la réfutation selon laquelle les modèles pertinents sont trop complexes pour l’enseignement de premier cycle ou prendrait trop de temps à enseigner. Une fois de plus, l’hypothèse est que les modèles économiques traditionnels sont le point de départ, quand il est parfaitement possible – souhaitable, même – de se renseigner sur des questions telles que la crise financière sans utiliser aucun type de modèle. Les modèles peuvent vous aider à le comprendre à un niveau supérieur, mais cela devrait être construit sur une base solide du monde réel. Mettre le monde réel au premier plan signifierait que les futurs chefs d’entreprise, décideurs et économistes universitaires n’entreraient pas dans le monde en croyant que «l’économie» est synonyme d’un type d’approche.
Je crois que les mauvais économistes de Rodrik ne sont pas quelques malheureux renégats; ils sont la réductio ad absurdum des pratiques d’éducation et de recherche décrites ci-dessus. Lorsque les économistes apprennent une seule approche comme s’il s’agissait d’économie, il n’est pas surprenant que certains la poussent trop loin. Dans un sens, ce qui est remarquable, c’est dans quelle mesure les économistes contemporains ont été disposés et capables d’étirer le cadre de base pour accueillir des informations plus pertinentes, en travaillant avec un ensemble d’outils aussi limité. Malgré cela, les domaines de la discipline risquent de se retrouver dans une impasse intellectuelle en plaçant leur méthode en premier et en l’utilisant pour dire des choses nouvelles et intéressantes uniquement pour les économistes.
Repenser l’économie et le mouvement étudiant au sens large pour réformer l’économie estiment que le «pluralisme critique» est l’antidote à ce problème. Si les futurs économistes apprennent les questions pertinentes, en utilisant un large éventail de modèles si nécessaire mais sans y insister, moins d’efforts seront consacrés à l’extension de méthodes particulières à des questions triviales ou à réponses longues. En politique et dans l’espace public, l’économie nous donnera une meilleure conception du fonctionnement du monde et un éventail plus large de choix politiques pour en faire un meilleur endroit. Les étudiants auront non seulement une meilleure compréhension des raisons pour lesquelles les outils économiques standard peuvent échouer; ils comprendront mieux quand et pourquoi ils réussissent. La pensée critique sera intégrée dès le début de la formation des économistes.
Plusieurs signes positifs indiquent que la discipline pourrait aller dans cette direction: l’initiative d’ouverture d’esprit Rebuilding Macroeconomics; un nouvel accent sur la communication économique, y compris la fantastique session à laquelle j’ai assisté au RES de cette année; le programme CORE remanié, qui semble devenir progressivement pluraliste même si ses adhérents hésitent à l’admettre; et des initiatives au sein d’institutions gouvernementales telles que la Banque d’Angleterre et le Government Economic Service, qui adoptent le pluralisme. En fait, la dernière version du livre vert susmentionné, publiée cette année, comprend désormais une section entière sur les limites de l’analyse économique standard en matière d’environnement et d’approches alternatives.

Réduire les émissions des avions

L’aviation est l’une des sources d’émissions de gaz à effet de serre qui connaît la plus forte croissance. L’UE prend des mesures pour réduire les émissions de l’aviation en Europe et collabore avec la communauté internationale pour élaborer des mesures de portée mondiale.

Croissance rapide des émissions de l’aviation
Les émissions directes de l’aviation représentent environ 3 % des émissions totales de gaz à effet de serre de l’UE et plus de 2 % des émissions mondiales. Si l’aviation mondiale était un pays, elle se classerait parmi les dix premiers émetteurs.

Une personne effectuant un vol aller-retour entre Londres et New York produit à peu près le même niveau d’émissions qu’un habitant moyen de l’UE en chauffant sa maison pendant une année entière.

D’ici à 2020, les émissions mondiales de l’aviation internationale devraient être supérieures d’environ 70 % à celles de 2005 et l’Organisation de l’aviation civile internationale (OACI) prévoit que d’ici à 2050, elles pourraient encore augmenter de 300 à 700 %.

Comme d’autres secteurs, l’aviation contribue à la réduction des émissions au sein de l’UE par le biais du système communautaire d’échange de quotas d’émission.

L’aviation dans le système communautaire d’échange de quotas d’émission
Les émissions de CO2 de l’aviation sont incluses dans le système d’échange de quotas d’émission de l’UE (SCEQE) depuis 2012. Dans le cadre du SCEQE, toutes les compagnies aériennes opérant en Europe, qu’elles soient européennes ou non, sont tenues de surveiller, de déclarer et de vérifier leurs émissions, et de restituer des quotas correspondant à ces émissions. Elles reçoivent des quotas échangeables couvrant un certain niveau d’émissions de leurs vols par an.

Le système a jusqu’à présent contribué à réduire l’empreinte carbone du secteur de l’aviation de plus de 17 millions de tonnes par an, la conformité couvrant plus de 99,5 % des émissions.

Outre les mesures fondées sur le marché comme le SCEQE, des mesures opérationnelles – telles que la modernisation et l’amélioration des technologies, procédures et systèmes de gestion du trafic aérien – contribuent également à réduire les émissions de l’aviation.

La législation, adoptée en 2008, a été conçue pour s’appliquer aux émissions des vols en provenance, à destination et à l’intérieur de l’Espace économique européen (EEE) – les 28 États membres de l’UE, plus l’Islande, le Liechtenstein et la Norvège. La Cour de justice des Communautés européennes a confirmé que cette approche était compatible avec le droit international.

L’UE a toutefois décidé de limiter le champ d’application du SCEQE aux vols à l’intérieur de l’EEE jusqu’en 2016 afin de soutenir l’élaboration d’une mesure mondiale par l’Organisation de l’aviation civile internationale (OACI).

À la lumière de l’adoption d’une résolution par l’assemblée de l’OACI de 2016 sur la mesure mondiale (voir ci-dessous), pilotage avion Le Touquet l’UE a décidé de maintenir la portée géographique du SEQE de l’UE limitée aux vols intra-EEE à partir de 2017. Le SEQE de l’UE pour l’aviation fera l’objet d’un nouveau réexamen à la lumière des développements internationaux liés à l’opérationnalisation de CORSIA. La prochaine révision devrait examiner comment mettre en œuvre la mesure globale dans le droit de l’Union par le biais d’une révision de la législation SCEQE. En l’absence d’une nouvelle modification, le SEQE de l’UE reviendrait à son champ d’application global initial à partir de 2024.

Résultats de la consultation publique
En 2016, la Commission européenne a organisé une consultation publique sur les mesures fondées sur le marché visant à réduire l’impact de l’aviation internationale sur le changement climatique. Cette consultation visait à recueillir des contributions sur les options stratégiques mondiales et européennes.

Au total, 85 citoyens et organisations ont répondu.
Voir les contributions

Un système mondial de compensation des émissions
En octobre 2016, l’Organisation de l’aviation civile internationale (OACI) a convenu d’une résolution pour une mesure mondiale fondée sur le marché pour traiter les émissions de CO2 de l’aviation internationale à partir de 2021. La résolution adoptée définit l’objectif et les principaux éléments de conception du système mondial, ainsi qu’une feuille de route pour l’achèvement des travaux sur les modalités de mise en œuvre.

Le système de compensation et de réduction du carbone pour l’aviation internationale, ou CORSIA, vise à stabiliser les émissions de CO2 aux niveaux de 2020 en obligeant les compagnies aériennes à compenser la croissance de leurs émissions après 2020.

Les compagnies aériennes devront
surveiller les émissions sur toutes les liaisons internationales ; compenser les émissions des liaisons incluses dans le système en achetant des unités d’émission éligibles générées par des projets qui réduisent les émissions dans d’autres secteurs (par exemple, les énergies renouvelables).

Au cours de la période 2021-2035, et sur la base de la participation prévue, on estime que le système compensera environ 80 % des émissions supérieures aux niveaux de 2020. Cela s’explique par le fait que la participation aux premières phases est volontaire pour les États et qu’il existe des exemptions pour ceux dont l’activité aérienne est faible. Tous les pays de l’UE adhéreront au système dès le début.

Un réexamen régulier du système est prévu par l’accord. Cela devrait permettre une amélioration continue, y compris dans la manière dont le système contribue aux objectifs de l’accord de Paris.

L’OACI travaille actuellement à l’élaboration des règles et outils de mise en œuvre nécessaires pour rendre le système opérationnel. La mise en œuvre et l’opérationnalisation efficaces et concrètes de CORSIA dépendront en fin de compte des mesures nationales à élaborer et à appliquer au niveau national.

Donnez votre sang

Il a été démontré que payer certaines personnes pour donner du sang tandis que d’autres reçoivent des remerciements superficiels » a pour effet d’évincer les donneurs altruistes. Cette colonne examine les données de 15 pays européens et constate que si c’est le cas pour les récompenses monétaires, ce n’est pas le cas pour les récompenses non monétaires.
Bien que rarement au centre de la réflexion des économistes, les bonnes actions font tourner le monde. Les dons de sang, par exemple, sont un élément essentiel des systèmes de santé à travers le monde. Mais lorsque la gentillesse humaine vient à manquer et que plus de sang est nécessaire, des incitations monétaires sont souvent fournies.
Payer certains avec de l’argent et d’autres avec des remerciements peut produire un effet pervers – une fonction d’offre en pente descendante. Comme l’a souligné Titmuss (1970), le fait de payer certains peut évincer » les dons de donateurs purement altruistes. Il peut également réduire la qualité du sang. La proposition a été discutée par Solow (1971) et Arrow (1972). Ils suggèrent que les effets des incitations par les prix devraient simplement s’ajouter à ceux de l’altruisme, de sorte que l’offre devrait augmenter.
En 1997, l’Organisation mondiale de la santé (OMS) a recommandé que tous les dons de sang proviennent de donneurs volontaires non rémunérés. Mais, en 2006, seuls 49 des 124 pays étudiés avaient établi cela comme une norme. En outre, dans la région européenne de l’OMS, le nombre de donneurs varie de moins de 4,5 à plus de 45 pour 1000 habitants. Seuls 39 % de la population générale sont éligibles pour faire un don, mais moins de 5 % des personnes éligibles font réellement un don.
L’altruisme et la grande société »
Les enjeux vont bien au-delà du sang. Comprendre l’interaction entre le volontaire et le rémunéré est un élément clé pour corriger les interventions gouvernementales qui sont censées évincer les actions individuelles. Par exemple, le gouvernement britannique actuel a défendu la notion de grande société », qui, bien que définie de manière assez floue, semble avoir le comportement altruiste comme thème central. Bien qu’il y ait beaucoup de discussions libres centrées sur la définition de cet outil politique, on s’intéresse de plus en plus à la question de savoir si un tel comportement peut être motivé par des mécanismes d’incitation.
Les individus pourraient entreprendre certaines actions altruistes guidées par une motivation extrinsèque, y compris une lueur chaleureuse ou une satisfaction morale. En essayant de répondre à la question de savoir si un comportement altruiste peut être incité, dans des recherches récentes (Costa-Font et al. 2011), nous avons examiné si différentes incitations financières et non financières ont le même effet sur la volonté de faire un don lorsque d’autres facteurs observés et non observés sont contrôlée pour. En particulier, nous étudions si l’éviction a lieu avec toutes sortes de récompenses, ou spécifiquement avec uniquement des récompenses monétaires. Nous répondons à cette question en exploitant un vaste ensemble de données représentatif de 15 pays européens contenant des informations sur le fait qu’un individu ait été ou non donneur dans le passé et ses préférences en matière de compensation monétaire et non monétaire pour le don de sang. Cette information permet l’estimation de deux systèmes d’équations récursives et l’exploration de la relation des préférences sur différents types de récompenses et la probabilité d’être un donateur.
Fait important, nous constatons qu’une récompense monétaire réduit la probabilité de don conformément à l’hypothèse d’éviction, tandis qu’une récompense non monétaire cohérente avec une courbe d’offre normale suggère un effet positif et significatif sur la probabilité de don.
Ces résultats sont robustes à différentes spécifications et indiquent que l’éviction est un phénomène lié à l’introduction d’une logique de marché pour les décisions non marchandes, et que les individus socialement motivés restent disposés à donner lorsque des récompenses non monétaires sont offertes.
Ainsi, l’éviction est spécifique de l’incitation utilisée,…
Les récompenses non monétaires pourraient potentiellement être utilisées pour inciter au don de sang, car ce type de récompenses ne semble pas supprimer, selon la terminologie d’Andreoni et al. (2008), le warm-glow associé au don de sang. Ce point a déjà été suggéré par les résultats expérimentaux de Mellstrom et Johannesson (2008), que nous généralisons à partir de données paneuropéennes.

Des avions de combat toujours plus sophistiqués

Le You.S. L’Air Force se prépare à modifier considérablement la stratégie d’achat de ses avions de combat d’après cette génération, avec un tout nouveau programme qui peut nécessiter que le marché stylise, développe et crée un tout nouveau chasseur en 5 ans ou moins. Le 1er octobre, l’assistance remodèlera techniquement son programme de chasseurs d’après cette époque, généralement connu sous le nom de Next Age group Oxygen Prominence, ou NGAD, a déclaré Will Roper, le professionnel de l’investissement de la Force environnementale, lors d’une réunion spéciale avec Protection Reports. Dans un nouveau lieu de travail passant par un superviseur de plan sans nom, le logiciel NGAD adoptera une méthode rapide d’établissement de petits lots de combattants avec plusieurs organisations, similaire à la série Century d’avions internes des années 1950, a déclaré Roper. «Sur la base de quel marché pense qu’ils peuvent faire et de ce que mon équipage me dira, nous devrions mettre en place une cadence de méthodes rapidement, nous pensons que nous créons un nouvel avion dès le début. À l’heure actuelle, mon calcul est de 5 ans. J’ai peut-être complètement tort », vol en avion de chasse a-t-il expliqué. «Je m’attends à ce que nous puissions être plus rapides que cela – je pense que cela pourrait être insuffisant à terme [pour surmonter les dangers à venir] – mais 5 ans est tellement mieux que exactement où nous en sommes avec des achats réguliers. » La stratégie Century Collection sera bien connue en laissant dans le passé de l’Oxygen Force la réflexion sur son potentiel combattant mma. Dans leur étude «Air Efficiency 2030» introduite en 2016, la Force de l’atmosphère a décrit un détecteur-tireur furtif à longue portée appelé «Penetrating Countertop Air flow», qui pourrait faire office de nœud principal de NGAD en réseau avec des capteurs, des drones et d’autres systèmes. L’Atmosphere Power utiliserait le prototypage pour accélérer les systèmes cruciaux couplés dans l’espoir de les faire mûrir très tôt pour les ajouter à un avion sophistiqué mis en service au début des années 2030. Mais ce que le téléphone Roper appelle la «série Digital Century» changerait ce paradigme: au lieu de faire évoluer les systèmes au fil du temps pour faire un superbe combattant, le but de l’atmosphère Force est toujours de construire rapidement le combattant idéal que les entreprises peuvent rassembler sur une paire de plusieurs années. , ajoutant quelle que soit la technologie moderne émergente présente. L’assistance réduirait la sélection, mettrait une petite quantité d’avions sous accord, puis réactiverait une autre circulaire de concurrence entre les fabricants de chasseurs, qui pourraient modifier leurs modèles de chasseurs mma et étudier les étapes modernes de la technologie moderne. Le résultat pourrait être un groupe de chasseurs en réseau – certains autres interdépendants que d’autres – créés pour répondre à des demandes particulières et qui comprend les meilleurs systèmes de la race à bord d’une cellule individuelle. Un jet pourrait éventuellement être conçu pour une capacité révolutionnaire, comme un faisceau laser aérien. Encore un autre combattant mma pourrait bien mettre en priorité des capteurs de pointe et inclura l’intelligence artificielle. Un particulier peut être une camionnette d’armes sans pilote.